Kyle Patrick a grandi à Winnipeg, au Manitoba, et se plongea dans les contes et le théâtre d'un très jeune âge. La première étincelle de réel intérêt pour cette passion est née à l'école primaire quand ses pairs aimaient tant son travail qu’ils lui ont demandé de continuer une histoire courte et en faire une série entière. L’enseignant lui a ensuite demandé de lire cette série tous les mardis à la classe. Kyle a commencé à travailler avec différents programmes de théâtre, y compris le Manitoba’s Theatre for Young People, qui a contribué à enflammer sa passion pour la communication de ses histoires d’une manière plus directe. Tout en étudiant en communications à l'Université de Winnipeg, Kyle a eu l'occasion d’avoir pour mentor Margaret Sweatman, une auteure Manitobaine vétérane qui l’a poussé à communiquer son œuvre à travers la poésie. Grâce à cette inspiration, Kyle s’est immergé dans la scène de la poésie à Winnipeg, en faisant des lectures, ainsi que des spectacles de ses poètes préférés tels que Sylvia Plath. Après avoir obtenu son diplôme, il a déménagé à Montréal et s'est concentré sur l'art performance, qui, par son évocation peut conduire le public à des endroits bruts et souvent sombres d'expression émotionnelle.
«Nous avons oublié ce que cela signifie d'être de vrais animaux, et donc nous avons perdu le contact avec ce que cela signifie qu'être humain. Fermés et retirés de notre lien avec la nature, nous avons construit de nouvelles identités pour nous-mêmes et propagé le sentiment de honte associée à des états bruts et naturels de l'être. Nous avons oublié la forêt, la jungle, le désert à partir de laquelle nous sommes venus, et jusqu'à ce que nous réclamons nos identités en tant qu’animaux, nous ne pouvons pas réellement devenir des gens plus ouverts et plus aimants – envers nous-mêmes autant qu’aux autres. Pour moi, Transmute est une occasion d'amener le public vers la forêt, et de se réapproprier cette identité perdue. "
«Nous avons oublié ce que cela signifie d'être de vrais animaux, et donc nous avons perdu le contact avec ce que cela signifie qu'être humain. Fermés et retirés de notre lien avec la nature, nous avons construit de nouvelles identités pour nous-mêmes et propagé le sentiment de honte associée à des états bruts et naturels de l'être. Nous avons oublié la forêt, la jungle, le désert à partir de laquelle nous sommes venus, et jusqu'à ce que nous réclamons nos identités en tant qu’animaux, nous ne pouvons pas réellement devenir des gens plus ouverts et plus aimants – envers nous-mêmes autant qu’aux autres. Pour moi, Transmute est une occasion d'amener le public vers la forêt, et de se réapproprier cette identité perdue. "
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“We have forgotten what it means to be real animals, and thus are losing touch with what it means to be humans. Closed off and removed from our bond with nature, we have constructed and refined new identities for ourselves which propagate ideas of shame associated with raw and natural states of being, limiting us from acknowledging all the beautiful things that come from being an animal. We have forgotten the forest, the jungle, the desert from which we came, and until we reclaim our identities as animals, we cannot genuinely be more open and loving people – to ourselves or to one another. For me, transmute is an opportunity to bring the audience back into the forest, and to reclaim this lost identity.”
